5 choses que vous ne saviez pas sur Sting

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Sting vie privée

L’ange blond du rock’n’roll s’apprête à agiter le Stade de Tourbillon, dans le cadre du festival Sion sous les étoiles. Alors que le public frémit déjà d’une impatience bien compréhensible, découvrez qui se cache derrière l’une des majeures figures médiatiques internationales, avec ce top 5 des choses que vous ne saviez (probablement) pas sur Sting.

1. Bonjour, je m’appelle…

S’il est vrai que le français est la langue de la politesse, alors le premier point ne peut que concerner les présentations. Mieux connu sous le pseudonyme de Sting, qu’il partage aujourd’hui avec un catcheur célèbre au pays de l’Oncle Sam, son vrai nom est Gordon Matthew Thomas Sumner. Enchanté !

2. Dard d’art ! La question piquante de son surnom

Sting est la traduction anglaise d’une piqûre d’insecte. Depuis ses débuts sur scène, il a été appelé ainsi, non pas parce qu’il incarne un Cupidon du rock qui vous pique de sa gratte électrique, mais à cause d’un t-shirt jaune et noir qu’il portait lors de ses performances avec un de ses premiers groupes, les Phoenix Jazzmen.

3. Un parcours musical rockambolesque

Si la gueule d’ange se passionne très tôt pour la musique, il ne parvient que plus tard au pays du rock’n’roll. En effet, l’artiste navigue longtemps dans les eaux du jazz, en suivant d’abord les cours du Northern Counties College of Education, de 1971 à 1974, puis devenant professeur à la St. Paul’s Middle School de Cramlington. Le soir et les week-ends, il fait swinguer les salles de concert de la région, en intégrant différentes formations de jazz.

4. Halte… The Police en état de consécration !

C’est en 1977 qu’il forme The Police, avec le guitariste français Henry Padovani, remplacé plus tard par Andy Summers. Le groupe connaît un succès mondial et multiplie les tubes intemporels. En 1983, suite à l’album Synchronicity, Sting décide de laisser le groupe, considérant que ce dernier a atteint son apogée. Jamais officiellement séparés, les membres de The Police poursuivent leur carrière en solo. Ce n’est qu’un 2007 qu’ils repartent ensemble pour une nouvelle tournée à travers le globe, qui s’illustre comme l’une des plus lucratives de tous les temps. Imaginez… 79 000 places vendues en moins d’1h30 pour le concert du 29 septembre 2007 au Stade de France ! Un record absolu.

5. Un hit mal compris

Every breath you take est encore aujourd’hui chantée par les amoureux transis et autres cœurs fondants. Ecrite par Sting, elle a remporté le Grammy Award de la chanson de l’année en 1983. Mais surtout, ce sublime hit est sûrement l’un des plus mal interprétés de l’histoire musicale. Trop souvent pris comme une déclaration d’amour, il traite en réalité de la jalousie et la possessivité d'un personnage voulant contrôler la vie de son amour perdu. Composées durant la déconfiture du mariage de Sting et de sa femme d’alors, Frances Tomelty, les paroles transcrivent le comportement d’un personnage sinistre, obsédé par le contrôle total de la vie de son conjoint.

Every breath you take, every move you make, every bond you break , every step you take,  I'll be watching you

Chaque respiration que tu prends, chaque mouvement que tu fais, chaque lien que tu romps, chaque décision que tu prends, je te regarderai

Sting raconte qu'un jour un couple est venu à lui en lui disant "On adore cette chanson ! C'était celle de notre mariage". Ce à quoi il a simplement répondu : "alors bonne chance" ! "

Créé le 03.07.2017 par Loris

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