Love me
C’est le spectacle d’une possédée. Son corps, Marina Otero, elle a parfois l’impression qu’une force ancienne cherche à s’exprimer à travers lui.
C’est le spectacle d’une possédée. Son corps, Marina Otero, elle a parfois l’impression qu’une force ancienne cherche à s’exprimer à travers lui. Voilà pourquoi l’immense performeuse argentine n’est capable que d’une seule chose: faire de sa vie un théâtre sans fin. Le chapitre précédent de ce projet vital s’appelait fuck me. Pour écrire le suivant, qui a coïncidé avec le confinement, elle a poursuivi sa collaboration avec le dramaturge Martín Flores Cárdenas. Une performance en forme d’aveu, un adieu à toute cette violence, celle de Marina pour elle-même mais aussi celle de son père, le pardon, la douleur et ce qu’il faut pour s’en échapper. Le spectacle s’appelle love me. Oui, love me. fuck me d’abord, et ensuite parlons d’amour.
Attention: Nudité
23 — 25.09.2022
Texte, mise en scène et jeu Marina Otero - Martín Flores Cárdenas (AR)
Ve – 19h
Sa – 19h
Dim – 17h