PERTURBATOR EN CONCERT AUX DOCKS
UNIQUE DATE SUISSE
Le Parisien James Kent kiffe le black metal. Perturbator se lâche lui dans la synthwave. Très inspiré de la culture cyberpunk et par l’environnement du seinen manga, il est l’écho d’un Blade Runner. Son electro pulse, rectiligne, surprise à des moments par des assauts de synthés. Le tout martèle, oppresse, mais il parvient à ménager le suspens sur chacun de ses morceaux. Synthwave alors ? Plutôt darkwave. À chacun son (John) Carpenter.