QUELQU’UN D’AUTRE
Aller sans revenir
Si je devais traduire par une phrase cette nouvelle création, ce serait celle-ci. « Je ne sais plus si je suis un homme, une femme, je suis un être flottant »
Un solo pour Pascal Merighi, danseur. Après un création, j’ai le sentiment que ce n’est pas fini. La pièce continue à vivre en moi. J’attends avec une certaine anxiété le rien, le vide.
La précédente création a laissé s’échapper les résidus des choses à venir. Dans cet état de presque rien, ce sont des sensations, des images; je rêve le futur spectacle. ( voir plus bas le descriptif des séquences).
« Quelqu’un arrive et s’éloigne en même temps, il nous invite à le regarder avec attention une dernière fois, avant que ce ne soit trop tard. Il n’y aura pas de retour.
Le danseur qui va sans revenir annonce l’auto-disparition, dont les ombres se laissent deviner à la lisière de la forêt. »
Dans mon approche théâtrale et chorégraphique, l’écriture poétique de certains écrivains comme Maurice Blanchot, Henri Michaux, Paul Celan m’a toujours accompagné. A mes yeux, ils sont de véritables chorégraphes, inventant des espaces dans lesquelles s’engouffre l’imaginaire.
»Quelqu’un d’autre » un espace hallucinatoire, enfumé, flottant, dans lequel un danseur évolue. Une présence à la frontière du masculin et du féminin.
QUELQU’UN D’AUTRE - Le Galpon
au pied du Bois de la Bâtie au bord de l'Arve 2, route des Péniches
1200 Genève
Si je devais traduire par une phrase cette nouvelle création, ce serait celle-ci. « Je ne sais plus si je suis un homme, une femme, je suis un être flottant »
Un solo pour Pascal Merighi, danseur. Après un création, j’ai le sentiment que ce n’est pas fini. La pièce continue à vivre en moi. J’attends avec une certaine anxiété le rien, le vide.
La précédente création a laissé s’échapper les résidus des choses à venir. Dans cet état de presque rien, ce sont des sensations, des images; je rêve le futur spectacle. ( voir plus bas le descriptif des séquences)
« Quelqu’un arrive et s’éloigne en même temps, il nous invite à le regarder avec attention une dernière fois, avant que ce ne soit trop tard. Il n’y aura pas de retour.
Le danseur qui va sans revenir annonce l’auto-disparition, dont les ombres se laissent deviner à la lisière de la forêt. »
Dans mon approche théâtrale et chorégraphique, l’écriture poétique de certains écrivains comme Maurice Blanchot, Henri Michaux, Paul Celan m’a toujours accompagné. A mes yeux, ils sont de véritables chorégraphes, inventant des espaces dans lesquelles s’engouffre l’imaginaire.
»Quelqu’un d’autre » un espace hallucinatoire, enfumé, flottant, dans lequel un danseur évolue. Une présence à la frontière du masculin et du féminin.
25F Tarif de soutien
22F Plein tarif
15F OCE, AVS, AI, Passedanse (spectacles de danse uniquement), étudiants, tarifs jeunes, enseignants DIP (sauf délégués culture, places offerts), carte Côté Courrier, dispositif Circulez, genevepascher
10F Professionnels des arts de la scène, Passedanse tarif réduit (spectacles de danse uniquement), membres de l’association du Galpon, détenteurs de la carte 20 ans / 20 francs, enseignants, Amis de la Bâtie, tpoint.