Les eaux et forêts
Une pièce légère et joliment absurde, d’un délire verbal tout empreint de fraîcheur enfantine.
Lorsqu’un passant se fait mordre par le petit chien d’une femme, l’altercation qui s’ensuit donne à cet incident des proportions insoupçonnées… Trois grands comédiens et l’un des meilleurs metteurs en scène de sa génération s’approprient le «théâtre de l’emportement» de l’auteure, où prévalent spontanéité, simplicité et innocence du jeu, magnifiés par une langue narguant toute velléité de désespérance.
Théâtre du Passage
Grande Principale
4, passage Maximilien-de-Meuron
2000 Neuchâtel
45.– / 35.–