Autour du canon de Pachelbel
Croisière Concert sur un bateau Belle Epoque de la CGN
Pour son prochain concert, le CML vous fera redécouvrir le Canon de Pachelbel dont l’immense popularité n’est plus à commenter. Mais d’où vient-elle ?
Composé vers 1689, il se conclut par une gigue. Il a inspiré de nombreuses œuvres, jusqu’aux Beatles (I want to hold your hand) et Sardou (la maladie d’amour), qui reprennent la même progression harmonique. Il aurait pu être joué en 1694 au mariage d’un frère aîné de J.S. Bach.
La Sinfonia en do mineur de Endler ensuite, contraste par son climat plein d’anxiété et de chromatisme qui vous permet de découvrir ce compositeur injustement méconnu.
Une autre gloire baroque continuera à vous faire plaisir : Telemann avec des Tafelmusik ou musique de table, puisqu’elle était destinée à accompagner des banquets. Vous entendrez ici le concerto en la majeur TWV 53 : A 2 qui fait dialoguer le violon, la flûte et le violoncelle en solistes.
C’est avec J.S. Bach que se conclura ce programme : la deuxième suite pour orchestre en si mineur BWV 1067 vous enchantera notamment avec la célèbre badinerie qui la termine : la brise aérienne du traverseau souffle sur les eaux du Léman.
Pour son prochain concert, le CML vous fera redécouvrir le Canon de Pachelbel dont l’immense popularité n’est plus à commenter. Mais d’où vient-elle ?
Composé vers 1689, il se conclut par une gigue. Il a inspiré de nombreuses œuvres, jusqu’aux Beatles (I want to hold your hand) et Sardou (la maladie d’amour), qui reprennent la même progression harmonique. Il aurait pu être joué en 1694 au mariage d’un frère aîné de J.S. Bach.
La Sinfonia en do mineur de Endler ensuite, contraste par son climat plein d’anxiété et de chromatisme qui vous permet de découvrir ce compositeur injustement méconnu.
Une autre gloire baroque continuera à vous faire plaisir : Telemann avec des Tafelmusik ou musique de table, puisqu’elle était destinée à accompagner des banquets. Vous entendrez ici le concerto en la majeur TWV 53 : A 2 qui fait dialoguer le violon, la flûte et le violoncelle en solistes.
C’est avec J.S. Bach que se conclura ce programme : la deuxième suite pour orchestre en si mineur BWV 1067 vous enchantera notamment avec la célèbre badinerie qui la termine : la brise aérienne du traverseau souffle sur les eaux du Léman.