ULTIMAS ESPERANZAS

Exposition photographique de Robert Ramser à Focale
Vernissage le 8 juin 2023 dès 18h, puis exposition jusqu'au 20 août.
« Ultime Espérance, Port Famine, Cap de l’Angoisse, Golfe des Peines, Baie Inutile, Ile de la Désolation, les noms des lieux de Patagonie évoquent des contrées rugueuses, peuplées de légendes et de naufrages. [...] Les images évoquent les émotions que j’ai ressenties en voyageant en bus et en ferry dans ces territoires incertains. Sans intention documentaire, elles parlent d’un monde étrange, de terres fouettées par le vent et les vagues des océans, de plaines désolées où ne poussent que des plantes naines… De rencontres avec des personnages improbables aussi, isolés dans l’immensité du paysage, qu’ils soient marins affrontant des éléments trop souvent déchaînés, gauchos voués à la solitude dans les ‘puestos’ des immenses estancias ou simples habitants de ces régions si austères dans leur magnificence. » Robert Ramser
Photographe autodidacte, Robert Ramser a acquis sa culture de l’image au travers de contacts avec des artistes de renom, notamment le photographe américain Charles Harbutt, président de l’agence Magnum dans les années septante. Saisir ce qui va disparaître, le préserver peut-être de l’effacement, montrer des hommes en interaction avec leurs lieux de vie, tels sont les thèmes récurrents de ses projets qui questionnent un monde globalisé. Il est membre-photographe de l’association FOCALE.
« Ultime Espérance, Port Famine, Cap de l’Angoisse, Golfe des Peines, Baie Inutile, Ile de la Désolation, les noms des lieux de Patagonie évoquent des contrées rugueuses, peuplées de légendes et de naufrages. [...] Les images évoquent les émotions que j’ai ressenties en voyageant en bus et en ferry dans ces territoires incertains. Sans intention documentaire, elles parlent d’un monde étrange, de terres fouettées par le vent et les vagues des océans, de plaines désolées où ne poussent que des plantes naines… De rencontres avec des personnages improbables aussi, isolés dans l’immensité du paysage, qu’ils soient marins affrontant des éléments trop souvent déchaînés, gauchos voués à la solitude dans les ‘puestos’ des immenses estancias ou simples habitants de ces régions si austères dans leur magnificence. »
Robert Ramser
Photographe autodidacte, Robert Ramser a acquis sa culture de l’image au travers de contacts avec des artistes de renom, notamment le photographe américain Charles Harbutt, président de l’agence Magnum dans les années septante. Saisir ce qui va disparaître, le préserver peut-être de l’effacement, montrer des hommes en interaction avec leurs lieux de vie, tels sont les thèmes récurrents de ses projets qui questionnent un monde globalisé. Il est membre-photographe de l’association FOCALE.