Visite "afterwork" et dégustation de vins

Profitez d’une visite commentée des expositions d’été à l’Espace Graffenried, avant de vous laisser tenter par une dégustation de vins aiglons. Une belle opportunité d’allier papilles et pupilles !
L'Espace Graffenried s'allie à l'Office du Tourisme d'Aigle pour une visite "afterwork" des expositions d'été.
Au programme : visite commentée des expositions Monique Jacot. La figure et ses doubles à l'étage ainsi que Cédric Vionnet. Neon Street au rez, suivie d'une dégustation de vins aiglons par la Cave du Clos Aimond.
L'artiste Cédric Vionnet sera présent pour la visite de son exposition mêlant art néon et urbain.
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Les expositions
Monique Jacot. La figure et ses doubles
Monique Jacot (1934-2024) figure parmi les photographes suisses les plus importantes. Après des études à l’École des arts et métiers de Vevey, elle a entamé une carrière dans la presse comme photojournaliste. Elle a ainsi réalisé de nombreux reportages pour des revues suisses et internationales telles que Camera, Die Woche, Du, Elle, Geo, Schweizer Illustrierte, Stern et Vogue.
Cette exposition itinérante produite par Photo Elysée présente une sélection de photographies qui dévoilent la façon dont la photographe jouait avec la figure et ses doubles. Par le biais du montage et par différents jeux de miroir, elle conférait à ses œuvres une esthétique poétique, presque onirique. Dans son travail photo-journalistique, Jacot a mis en parallèle plusieurs figures, pouvant révéler un commentaire social au cœur de ses images.
Cédric Vionnet. Neon Street
L’exposition Neon Street présente pour la première fois à l’Espace Graffenried le travail d’un artiste néoniste, issu du domaine publicitaire, à travers une exposition d’art lumineux.
L’exposition présente un extrait de la série des Neon Tags, initiée en 2017 et complétée au fil des années. Ce corpus d’œuvres a été réalisé à partir de tags repérés dans les rues de Genève, où il vit. Cédric Vionnet a souhaité rendre hommage à ces artistes urbain·e·s de l’ombre en reproduisant leurs inscriptions murales à l’aide de tubes luminescents (dénommés « tubes néon » par abus de langage), les matérialisant ainsi de manière tridimensionnelle.